Ces exactions criminelles de l’armée d’occupation ont été condamnées par l’Autorité palestinienne qui parle « d’escalade extrême ». Elles ont été commises au mépris du Droit international et des Conventions de Genève sur la protection des populations civiles. Un an après l’agression contre le peuple palestinien elles confirment la volonté israélienne de refuser toute négociation et toute perspective de paix. Le Premier ministre palestinien, Salam Fayad, a exprimé l’espoir « de ne pas être emporté dans un cycle de violence, de chaos et d’instabilité ».
Face à cette montée de la tension et des risques, chacun est devant ses responsabilités, en particulier les autorités françaises et européennes qui doivent entendre l’ appel de l’Autorité palestinienne. Il faut intervenir de façon urgente pour enrayer cette dégradation dangereuse de la situation.